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@ Kohane : ça fait groupe de soutient morale pour les « sans amis » au début XD (on a fait le coup à l’atelier on était mort de rire). J’aime bien en tout cas ^^ !
@ Ombre : ton texte m’a fait pensé à simetierre (faute intentionnelle) de Stephen King
. M’a trop fait flipper le chat du bouquin (mais j’était morte de rire pour le bébé nyark nyark). Bref, on change enfin de point de vu pour être du côté des hommes ^^. Un chat qui affut des couteaux ? Oo Balèze ! Il est pas plutot parano ? (en tout cas j’aime beaucoup ton texte ^^)@ Luzo :
Il est mignon Pooky ! J’ai une femmelle à fournir (Zena, une guerrière évidemment) tu veux des bébé Pooky tueurs ? EDIT : Oserais-je ? ^^ Oui j’ose
! Voilà, j’ai commencé à écrire une nouvelle pour un concours (Claude Nougaro pour être plus précise). Ce n’est encore que le début, mais j’aurais voulu avoir votre avis ! Pour l’instant, c’est du premier jet (ou presque) et je dois encore travailler le style dans pas mal d’endroits (voir modifier complétement certains). Mais je voudrais quand même avoir des avis extérieurs pour le moment (histoire que, s’il y a quelque chose que je pourrais corriger, que je le fasse maintenant). Si ça ne vous intéresse pas, ne vous obligés surtout pas à le lire.*****************************************
« Tu me demande de mourir ? »
Scotché sur sa chaise, les yeux exorbités, Patrick eu une soudaine envie de vomir. Mais cela n’aurai jamais fait disparaître le regard froid et sans concession d’Ingrid.
« C’est une blague…
_ Ça n’en ai pas une. Pour la réussite de la mission c’est indispensable. Il nous faut sacrifier quelqu’un. C’est bien ce que tu m’as dit l’autre jour, non ? Que tu veux qu’on te laisse enfin mourir ? C’est l’occasion ou jamais. Tu as même le droit d’être vu comme une sorte de héros.
_ Arrêtes tes conneries. Je sais bien que je n’aurais le droit qu’à mon nom sur une stèle déjà bondée. Et puis, je m’en fiche pas mal de ce qui se passera après ma mort. Je serais plus là pour le voir de toute façon…
_ Alors c’est réglé ?
_ Attends un peu… C’est trop rapide ! Tu m’annonces comme ça que je dois mourir demain ?
_ Et alors ? Puisse que tu veux mourir de toute façon, qu’est-ce que ça peut faire ?
_ Mais… Je n’ai plus beaucoup de temps pour me préparer…
_ Te préparer à quoi ? Je t’ai déjà dit qu’on s’occupait de tout.
_ Mais à mourir !
_ Tu cherches des excuses pour allonger ta vie ? Pitoyable ! Je vais prendre quelqu’un d’autre dans ce cas.
_ Attends ! Je vais le faire ! Ce n’était pas ce que je voulais dire…
_ Alors à demain. »
Patrick resta sans voix. Sa demande avait enfin été prise en compte. Lui qui faisait partie de la majorité de la population qui quémandait au gouvernement le droit de mourir, attendant une réponse positive improbable, son vœux venait d’être exaucé. Selon les dernières statistiques sur lesquelles il était tombé, seule une personne sur mille environ voyait sa demande acceptée. Comme autres chiffres abstraits sur lesquels se raccrochaient des milliards de personnes, il y avait le taux de personnes demandeuses (67% en légère augmentation par rapport à l’an passé) ou encore celui de celles qui avait tenté le suicide (3%, en net diminution, comme s’en vantait le premier consul). Patrick ne les comprenait pas, vu le peu de personnes qui y parvenait (en dessous d’1%) et surtout les punitions qui suivaient s’ILS les arrêtaient avant (la pire étant la vie éternelle). Non, pas le suicide, bien trop risqué !
Pourtant, il trouvait que ça se passait beaucoup trop vite. Il s’était imaginé avoir un délai d’un mois ou deux, histoire de sentir le jour de la libération arriver petit à petit. On lui avait toujours dit que le gouvernement était particulièrement lent avec les demandeurs. C’était vrai qu’il attendait sa chance depuis une vingtaines d’années, ayant déposé sa candidature à neuf ans (l’âge moyen oscillait autour de onze ans). Tout comme il était vrai qu’il n’y croyait plus. Mais il n’arrivait pas à être aussi heureux qu’il se l’était imaginé.
Tué à la guerre… le secteur le plus prisé. Devançant de peu les morts pour la science ou ceux pour les shows télévisés. Plus de 90% de la population s’accordait à dire qu’il s’agissait de la meilleure fin. Bien sûr, Patrick en faisait partie. C’était ce qui avait figuré en premier sur dossier.
Il en avait de la chance ! Oh que oui ! Un sacré bol ! Il mourait même pour la victoire des Royaumes Terrestres !
En même temps, c’était la guerre qui était la plus demandeuse. Quoi de plus naturel ? Il fallait bien un peu de chair à canon à sacrifier ! Le terrorisme restait le meilleur moyen d’infiltrer les lignes ennemies en toute discrétion. La bombe atomique aurait aussi bien pu être utilisée, mais tout le monde savait que la Terre en avait déjà trop reçue. Près d’une centaine paraissait-il, plus encore selon certains. Quoi qu’il en soit, les surfaces vivables étaient à présent bien trop rares pour que qui que se soit n’ose refaire usage de la bombe. Les êtres humains avaient été recréés artificiellement pour la plupart. De moins de deux milles survivants après la Grande Guerre, ils été passés à plus d’un milliard en une dizaine d’années. Les fabriques de fœtus tournaient jour et nuit. Surtout que les survivants étaient devenus stériles à cause des radiations. C’était déjà un miracle de les sauver, mais la technologie n’a aucune limite. Elle pourrait même finir par se servir de robots kamikazes, par exemple. Ça en effrayait d’ailleurs beaucoup. Et quand plus personne n’aura besoin de sacrifices ? Ils seront contraint de vivre leur centaine d’année minimum ? Deux cent ou trois cent ans s’ils avaient moins de chance ? Voir plus, après tout leurs corps étaient de plus en plus performants !
D’après certaines rumeurs, le taux de personnes souhaitant leur propre mort était plutôt faible avant la Grande Guerre. C’était particulièrement difficile à s’imaginer. Bien que seuls 67% en faisait la demande, plus de 95% disaient vouloir mourir (seulement, ils savaient pertinemment que les chances étaient vraiment minces et ne voulait se faire aucun faux espoir). Le reste était principalement constitué d’indécis. Les rares qui voulaient vivre étaient considérés comme des personnes marginales et étranges par le reste de la population. Vouloir vivre ? Quelle hérésie !
C’était pourtant ceux qui voulait vivre qui parvenaient aux plus haut postes et obligeaient les autres à vivre eux aussi, soi-disant pour la perpétuation de l’espèce humaine ! Alors que les fabriques à fœtus fonctionnaient si bien ! Ils prétendaient que les envies suicidaires de la population devait provenir de cette fabrication et qu’il fallait revenir au « naturel ». Mais qui voudrait encore faire des enfants ? C’était ridicule ! D’autres prétendaient qu’il s’agissait d’une sorte de mode. D’autres que les gens avaient besoin de se sentir misérables et de se croire eux mêmes désespérés au point de vouloir en mourir. D’autres encore pronostiquaient que si tous ceux qui demandaient à mourir en obtenaient le droit, leur nombre diminuerait fortement car ils ne se présenteraient qu’en sachant qu’ils ont peu de chance de parvenir à leur fin. Stupide ! Tous ces chercheurs faisaient partie de ceux qui voulait vivre, ça crevait les yeux ! Pour qu’ils sortent de telles imbécilités !
Patrick vida son verre. Sa main tremblait un peu. D’impatience bien sûr ! Qu’est-ce que ça aurait pu être d’autre ? Qu’est-ce que ça aurait pu être… Il décida de se promener un peu dans le jardin. C’était idiot de rester assis là alors qu’il devait être en train de sauter de joie ! Mais il pensait que ce n’était pas convenable. C’était uniquement pour ça qu’il se retenait, évidemment ! Que penseraient les voisins ?
Demain… Tout sera fini… Définitivement… Aucune marche arrière possible… Encore heureux !
Depuis la Grande Guerre, plus personne ne croyait à la vie après la mort, ni a aucune stupidité du même genre. La science était la seule religion restante. Les élèves riaient aux éclats en étudiant des imbécilités telles que Jésus Christ, Mahomet… etc. Tout comme quand on leur racontait que les êtres humains avaient alors peur de la mort (et que la religion était un palliatif). Peur de la mort ? Les professeurs s’amusaient souvent des regards d’incompréhension des élèves. C’était vraiment étrange. Certains demandaient parfois à quoi ça pouvait bien servir. Il est tellement plus logique d’avoir peur de la vie. La plupart des professeurs haussaient les épaules. D’autres répondaient que c’était la manière de penser de l’époque. Mais ce genre de réponse ne satisfaisaient jamais les élèves. Mêmes ceux qui avaient décidés de ne pas céder à la mort ne la craignait pas pour autant. Tout le monde avait oublié ce que ça faisait de vivre dans la peur constante de mourir. Maintenant, c’était la peur constante de vivre…
Patrick observait les fleurs avec plus d’attention que jamais. À y bien réfléchir, il n’avait jamais vraiment pris garde à celles-ci. Qu’étaient-elle de plus qu’un quelconque assemblage de pétales ? Mais ce jour-là, c’était différent. Tout était différent ! Il n’avait jamais fait que courir entre diverses tâches quotidiennes et certains loisirs. À présent, il lui semblait n’avoir jamais fait de pause, n’avoir jamais pris le temps de faire un acte aussi badin que d’observer une fleur. C’était peut-être stupide (oh que oui ça l’était !) de se soucier de ce genre de futilités. Et pourtant, il se rendait compte de tout ce qu’il aurait pu faire. Toutes ces petites choses sans importance qu’il n’aurait jamais fait de son vivant. Car maintenant qu’il lui restait moins de vingt-quatre heures à vivre, n’était-il pas déjà mort ?
Il entendait au loin des pleurs d’enfants. Puis un rire solitaire, qui fut suivit de toute une slave. Un chien aboyait. Des oiseaux divers y allaient de leurs chants. Le vent se heurtait à des branches dans un bruissement qui évoquait pourtant la douceur et la sérénité. Étrange… Il n’avait jamais pris garde à tous ça. Cette vie phonique l’entourait au quotidien et il n’avait jamais rien remarqué… Il songea que ça devait être parce que ça ne le regardait pas. Il n’avait perçu jusque là que ses propres bruits. Jamais ceux des autres. Il se sentit brutalement entouré d’autres êtres vivants. C’étaient idiot à avouer, mais c’était pourtant bien la première fois qu’il se rendait réellement compte de l’existence de tout ça. De tous ces êtres dont la vie valait autant que la sienne. De ces gens qui mangeaient, dormaient, respiraient… Qui étaient indubitablement VIVANTS !
Des vivants qui vivaient comme des morts…
Une brise plus fraiche le fit frissonner. C’était violent, tellement violent par rapport à toutes ces choses de son corps dont il prenait conscience. Il se concentrait tour à tour sur sa respiration ou sur les battements de son cœur. Des choses tellement inconscientes… Il lui semblait malgré tout que s’il n’y pensait plus, son souffle et son cœur s’arrêteraient et qu’il ne se rendrait compte de rien. Stupide ! Vraiment stupide ! Tellement…
Pourquoi se sentait-il pleurer ?
*
« Vous allez à présent attacher le cran de sureté numéro trois au quatre. Serrez convenablement afin que… »
Patrick écoutait d’une oreille, obéissant machinalement. Le jour J. Celui qu’il attendait depuis tellement d’années. Celui qu’il s’était imaginer vivre seul, tel un héros fier se rendant au front la tête haute. Comme dans les films… Et dans ce qu’on pouvait conclure vu les statistiques. Sauf que même une personne sur mille, si on en revenait à la population entière et au fait que les attaques terroristes avaient lieu à peu près une fois par mois, ça donnait pas mal de monde au final. Ils étaient surement des milliers entassés dans une pièce à la blancheur immaculée, fixant l’écran géant où une jolie jeune femme leur expliquait comment enfiler le matériel convenablement, puis que faire précisément une fois sur place. Patrick jeta de brefs coups d’œil autour de lui, remarquant qu’il n’était pas le seul cherchant à deviner à ce que pouvait penser les autres. La majorité semblait un peu désemparé et peut sure d’elle. Certains se donnaient des airs de combattants illustres. D’autres paraissaient complètement paniqués. Ils étaient pourtant tous demandeurs.
Ingrid passait dans les rangs, imperturbable. Quelques uns semblaient la reconnaître et la saluait. Elle leur adressait un signe vague, sans ralentir. Patrick n’essaya même pas d’esquisser le moindre signe de reconnaissance. Il avait vite compris qu’elle était chargé d’aller à l’encontre de la population demandeuse afin de juger les personnes les plus sures. Elle savait très bien jouer la comédie et peu de monde de l’entourage de Patrick s’étaient doutés de son métier. Lui avait aussitôt tout fait pour paraître le plus déterminé possible. Et ça avait marcher.
D’autres personnes portant le même uniforme qu’Ingrid marchaient tranquillement, eux aussi parfois salués.Dommage zézé est une très mauvaise mère qui aurait créer des petits vraiment… huhuhuhu…
(à part ça j’ai relu vite fait mon début de nouvelle et… YATA !!! Une tonne de fautes, de répétitions, de phrases mal tournées… bref, j’ai intérêt à profiner ça avant de l’envoyer, parce que là…)
La suite, je devrais l’écrire d’ici la semaine prochaine au pire. En fait je bloque un peu (même si je sais la fin)…Premier commentaire de ton texte, j’ai trop rigolay, quand t’as placé le mot badin! J’m’attendais pas a le trouver sur mon chemin, il m’a trop pris par surprise!(vérifie quand même le sens, j’suis pas sur que ça peut s’utiliser comme tu l’as fait…)[/quote:1183kch3]
BADIN, BADINE
adj.
définition. Gai, enjoué (littéraire).
littéraire
L’Abbé Prévost. Manon Lescaut, 1728
« Manon, qui était badine, fut sur le point, plusieurs fois, de gâter tout par ses éclats de rire. »[/quote:1183kch3]
C’est vrai que ce n’était pas badin que je voulais utiliser à la base (je me demande d’ailleurs pourquoi je l’ai sortit *Tsuki qui pense à un mot et qui en sort un autre, oui oui, ça arrive souvent*)‘ai pensé chercher si y avait vraiment des caméras chez moi(au fait tu penses quoi de mon peignoir?)[/quote:1183kch3]
J’aime beaucoup ! Tu fais vraiment celui qui veut se la jouer négligé dedans !
(mais oui y a des caméras chez toi wYx, je lis même dans tes pensées, tu savais pas ?)Ouais, c’est vraiment que la première ébauche et j’espère quand même faire mieux après. C’est surtout pour les idées (mais y a même un moment où il manque carément un mot Oo c’est grave docteur ?). Mais c’est clair que le style et à revoir (en gros, à tout réécrire ^^’).
Étant donné que j’ai lu des Gunm et que je suis une grosse fada du meilleur des mondes, rien d’étonnant à ce qu’il y ai quelques ressemblances. Après, tu as raison, faut que j’essaye de diverger davantage (je vais essayer).
J’y avais pas du tout pensé pour les foetus, pour moi, ils voulaient juste repeupler rapidemment. Mais tu pose une excellante question, faut que je vois ça.
En tout cas merci de tes critiques ^^ ! Avoir un avis extérieur aide beaucoup mine de rien ! Viens que je te fasse un gros câlin wYxou !!! Pourquoi part tu en courrant ?J’dois m’inquiéter s’il prends des leçons de tir?[/quote:1183kch3]
Meuh non Luzo ! C’est la crise d’adolescence des lapins nains ! Tu devra vraiment t’inquiéter quand il commencera à se transformer en vampire !@ wYx : je suis un mec chauve de 40 ans voyons !
(j’adore ton rêve)
Pourquoi tu veux que je t’en veuille ? J’ai mis ce texte ici pour les critiques négative histoire que je l’améliorre ! Tu te tracasse pour rien mon wYxounet ! (désolé de toujours te donner des surnom débiles, mais je le fais tout le temps à mon frère devant ses pôtes et j’ai prise l’habitude )Tsuki’: J’ai trop la flemme pour lire maintenant, je lirais plus tard.
wYx: Il y a si longtemps que je ne voyais pas se passage du Livre de la Jungle! C’était trop marrant ton rêve, après 2/3 phrases, j’avais oublié que c’était un rêve…
Luzo: J’avais pas remarqué que tu avait mis un lapin sur ton avatar ^^Shinichi : j’ai pas encore terminé le texte ni même fait de retouche, je posterais la suite avec le début un peu mieux. Tu pourras toujours lire à ce moment là
(sinon tu va te le taper 2 fois).@ Luzo : Fait gaffe, une lapine s’approche… Si tu ne prends pas garde, il va y avoir une portée de lapins tueurs
!<———–
. M’a trop fait flipper le chat du bouquin (mais j’était morte de rire pour le bébé nyark nyark). Bref, on change enfin de point de vu pour être du côté des hommes ^^. Un chat qui affut des couteaux ? Oo Balèze ! Il est pas plutot parano ? 
(en tout cas j’aime beaucoup ton texte ^^)
(mais oui y a des caméras chez toi wYx, je lis même dans tes pensées, tu savais pas ?)Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.