Homepage › Forums › Autres › Inclassables › [LDRAN] Big Brother is watching you !
- Ce sujet contient 398,896 participants et 4,404 réponses.
- AuteurMessages
- 28 septembre 2008 à 12:43 #58066Tsukiyo-reiMembre
@ Luzo : dans tous les rpg je commence par xp comme une malade quelques heures avant de commencer l’histoire et je fais ça à chaque étape (je met un temps fou pour finir un jeu, mais j’explose les boss comme je veux ^^).
cf un dessin animé avec un p’tit gros[/quote:2ivhidaw]
Ça fait longtemps que j’ai pas regarder South Park d’ailleurs, faut que je m’y remette j’ai une saison de retard Oo !@ Shinichi : 2éme dan c’est à partie de 500 posts ^^.
28 septembre 2008 à 13:26 #58075ShinichiMembreTsuki: Non 2ème dan c’est sensei et c’est a partir de 1000 posts sensei 1er dan c’est a partir de 500, la preuve? tu est sensei 1er dan avec 896 posts. Mais je faisais un ranking senpai non-oficiel et donc 2OO post c’est senpai 2ème dan non-oficielment.
wYzzz: Tu vois je suis pas le seul a écrire wYzzz… Je sais, je sais… La vie est dure…
Les autres: *Pas de comentaire*28 septembre 2008 à 14:03 #58077Tsukiyo-reiMembre@ Shinichi : C’est vrai me suis gourée ^^’…
Quand on tire, on raconte pas sa vie…
Un homme tirait un cadavre derrière lui. Il entra dans une chambre et tira le verrou. Il déshabilla le cadavre et tira… ses bras et ses jambes (mais à quoi pensiez vous bande de pervers ? ). Ses traits étaient tirés de fatigue. Il avait tiré profit d’un moment de relachement de sa cible pour l’abattre. Maintenant, il découpa métodiquement le cadavre et en tira les viscères. Une fois fini, il tira un cercle autour de l’homme et y déposa les intestins. La scène était dominé d’un rouge tirant sur le noir. L’homme aurait voulu tirer au flanc, mais le boulot devait être fait correctement. Quand tout fu en place, il prit une photo, qu’il alla tirer dans la journée. Amenant la photo du traitre à la secte de massacrage de chèvre, il tirait discrétement sur sa cigarette. Il dit à la photo : « Tu aurais du la fermer, j’aurais pas eu le temps de te faire la peau. Quand on tire, on raconte pas sa vie… »
(désolée, j’ai pas d’inspiration pour faire quelque chose de mieux T_T)
28 septembre 2008 à 14:15 #58078wYxMembreJe sais que tu es pas le seul, tout à commencé a cause de cette immonde Tsuki’, et evidemment moutons que vous êtes, vous faites pareils et mainteant j’suis un insecte nuisible
Dommage que ton histoire soit pas super Tsuki’, mais l’idée est vraiment très bonne, j’ai adoré, essaye p’têtre d’ameliorer ton histoire ^^28 septembre 2008 à 14:28 #58081Tsukiyo-reiMembreNan ! J’ai trop la flemme et toute mon inspiration est entierrement capté par l’atelier d’écriture de cette année et son projet qui fait un peu foutage de gueulle ^^ !
Bref, je sais pas quoi écrire et j’aurais pas internet dès demain jusqu’à vendredi soir (sauf miracle : peut-être que le service informatique de la fac va penser à se manier ggggrrrrr). Bref, je post juste comme ça, pour faire style que je suis *fénéantise powa*.
*retourne sur daily*28 septembre 2008 à 14:51 #58084ShinichiMembreMoi j’l’aime bien ton texte! Si ça continue je sais pas pour qui je vais voter… Moi j’ai pas le courage de mis metre tout de suite… Avec BEAUCOUP de chance vous aurez mon texte demain…
28 septembre 2008 à 16:54 #58110LuzonapisanchoroParticipantA Tsuki’: T’as quand même réussi à placer plusieurs sens du mot tiré.
Moi aussi, je risque de ne pas avoir internet cette semaine. J’éspère que ça ira.28 septembre 2008 à 17:01 #58112ShinichiMembreMoi pour internet ça devrait aller…
28 septembre 2008 à 19:00 #58147wYxMembrePareil pas le net cette semaine normalement, j’ferais des passages éclairs… Il faudra donc être patient pour mon texte ^^
28 septembre 2008 à 19:09 #58149ShinichiMembreoulà!!!!! Y a l’épidémie de ne pas pouvoir venir ou quoi???????? Je crois de moins en moins que vous aurez mon texte demain… Vous l’aurez sans doute mardi…
28 septembre 2008 à 19:33 #58151Un_revenantMembreQuand on tire, on ne raconte pas sa vie.
Un vieux médiéviste, assis sous un arbre, lança un regard perçant à ses étudiants eux aussi assis à ses pieds.
C’était le Printemps, nous étions en Suède et la fin des cours s’approchaient de plus en plus.
Face à notre vieux professeur, nous attendions avec beaucoup de respect le début de sa séance. Il aimait ça, les cours sous les arbres. Cela lui rappelait les cours de géographie en plein air de son vieil ami André Cholley.
Une feuille tomba. Doucement d’abord, puis, prise par le vent, elle vint se poser, non sans zigzaguer, au pied de l’émérite.« Il est temps, dit il. »
Nous nous tûmes.
« Il y avait alors [à Birka] une très pieuse dame, commença le professeur, que jamais la perversité des impies n’avait pu détourner de la droiture de sa foi ; dans quelque difficulté qu’elle se trouvât, ils lui suggéraient de sacrifier aux idoles selon leurs coutumes ; mais dans sa fermeté elle ne se détourna jamais des devoirs de sa foi, répondant qu’il était vain de demander des secours à des simulacres muets et sourds, et qu’il lui paraissait abominable de retomber dans ce à quoi elle avait renoncé par le baptême et de trahir l’engagement qu’elle avait promis au Christ. « Car, disait-elle, s’il est mal de tromper les hommes, combien plus mal serait de tromper Dieu ? Et s’il est bien que la foi soit solidement préservée parmi les hommes, n’est-il pas tellement mieux que celui qui a reçu la foi du Christ ne s’en détourne en aucune manière, ni ne confonde la vanité avec la vérité ? Mon Seigneur Jésus-Christ, ajoutait-elle, est tout-puissant, et si je persévère dans sa foi, il pourra répondre suivant sa volonté de ma santé aussi bien que de toutes les bonnes choses qui viendraient à me manquer. » Ainsi cette pieuse femme, qui répondait au nom de Frideburg, conduisit-elle le cours de ses jours jusqu’à la vieillesse, aussi digne d’éloges par la qualité de sa vie que par la constance de sa foi. Alors, comme elle voyait approcher le jour de sa mort et que depuis le départ du seigneur Gauzbert aucun prêtre n’avait débarqué [à Birka], mue par le désir de recevoir ce qu’elle avait appris être le viatique des chrétiens, elle fit mettre de côté dans un vase un peu de vin qu’elle avait fait acheter, et demande à sa fille, qui partageait sa foi religieuse, que, lorsqu’elle en serait à sa dernière extrémité, elle lui versât dans la bouche, étant donné qu’elle ne pouvait recevoir le saint sacrifice, un peu de ce vin afin qu’elle pût recommander sa mort à la grâce de Dieu. Or, elle garda ce vin auprès d’elle pendant près de trois ans, jusqu’à ce qu’arrivât [à Birka] le prêtre Ardgar dont il a déjà été question. Une fois celui-ci installé, elle pratiqua, tant qu’elle eut des forces, les dévotions de sa religion, demandant avec autant d’empressement au prêtre le saint sacrifice de la messe que les conseils de salut. Mais, la maladie prenant finalement le dessus, elle commença à perdre ses forces ; et avertie de sa mort prochaine, elle le fit venir à son chevet. Après avoir reçu de sa main le viatique tant attendu, elle migra dans la joie vers le Seigneur. Mais comme, riche qu’elle était des choses du siècle, elle vait toujours eu le souci de distribuer les aumônes, elle avait enjoint sa fille, qui répondait au nom de Catla, de distribuer aux pauvres, une fois qu’elle-même aurait quitté la lumière de ce monde, tout ce qui était en sa possession. « Et comme, ajouta-t-elle, il y a trop eu de pauvres ici, qu’après ma mort tu vendes, dès que cela te sera possible, tout ce qui n’aura pas été distribué, que tu prennes avec toi l’argent et que tu ailles à Dorestad : il s’y trouve de nombreuses églises, de nombreux prêtres, de nombreux clercs et une multitude d’indigents. Une fois arrivée là-bas, enquiers-toi auprès des fidèles instruits dans notre foi de la meilleure façon de répartir l’argent, et distribue le tout en aumône pour le salut de mon âme… ». »
Non loin de là, pendant que le professeur nous narrait avec tant de détail un morceau choisi de sa « Vita Anskarii », une silhouette, courbée, s’avançait doucement le long d’une des lignes horizontales que dessinées la vaste mosaïque de champs de céréales en pleine maturation.
Indifférent ou trop absorbé par sa vie, notre professeur continua.« C’est pourquoi, après le décès de la mère, la fille s’empressa d’accomplir ce que sa mère lui avait ordonné. S’étant élancée sur la route et étant parvenue à Dorestad, elle prit conseil auprès de pieuses dames, qui firent avec elle le tour des lieux saints, et la conseillèrent sur ce qu’elle devait donner aux uns et aux autres. Un jour qu’elles visitaient les lieux saints pour y répartir l’aumône, et que la moitié déjà en avait été distribuée, elle dit à ses compagnes : « Maintenant, nous sommes fatiguées ; il serait bon que nous nous achetions un peu de vin pour nous refaire des forces ; alors seulement nous terminerons la tâche engagée. » Quatre deniers ayant été distraits dans ce but, elles recouvrèrent leurs forces et terminèrent ce qu’elles avaient entrepris. L’oeuvre achevée et de retour chez ses hôtes, Catla déposa dans un coin la bourse vide qui avait contenu l’argent ; mais, revenant au même endroit, elle la retrouva, par un magnifique don du ciel, aussi pleine qu’elle l’avait été auparavant. Frappée de stupeur par un aussi grand miracle, elle révéla ce qui venait de lui arriver aux pieuses femmes qui l’avaient accompagnée et qu’elle avait fait venir. Faisant devant elles le compte de l’argent, elle trouva exactement la même somme qu’elle y avait mise, sauf les quatre deniers. Suivant alors leur conseil, elle alla trouver les prêtres qui lui paraissaient les plus avisés, et elle leur raconta le prodige : louant la grâce de Dieu pour sa si grande bonté, ils lui expliquèrent que le Seigneur avait voulu la remercier pour son travail et sa piété. « Comme, lui dirent-ils, tu as obéi à ta mère, que tu as respecté dans son intégralité l’engagement pris devant elle et que, après avoir assumé les difficultés d’une si longue route, tu as diligemment réalisé son aumône, le Seigneur, rémunérateur de tout bien, t’a donné cette somme pour te récompenser et pour subvenir à tes besoins ; car il est tout-puissant, prodigue de tout et il ne manque de rien. Il rendra dans le royaume des cieux ce que ses difèles auront prodigué en son nom aux pauvres et à ses serviteurs. C’est cela que le Seigneur a voulu te signifier par ce miracle – pourvu que tu ne doutes jamais, et que ne te vienne jamais le regret d’avoir procédé à la distribution de l’argent. Grâce à ce signe, tu peux être fermement assurée que ta mère est sauvée avec le Seigneur ; grâce au miracle, tu peux toi aussi être assurée que, si tu n’hésites pas à distribuer ton bien au nom du Christ, il te sera rendu au ciel par le Seigneur. L’argent qui vient de t’être donné par Dieu est aussi ton bien, et c’est par ton libre arbitre, suivant ta propre volonté, que tu le dépenseras : car il n’a pas voulu te rendre ce que tu avais utilisé pour ton propre usage, et ne t’a restitué, dans son infinie bonté, que ce que, par amour pour lui, tu avais distribué aux pauvres. »
Inlassablement, doucement mais surement, la silhouette, maintenant poursuivie par une ombre massive, se rapprochait de nous. On devinait, en tête du cortège, un homme, petit mais trapu.
Sa cadence n’était pas très élevée, mais la justesse de ses mouvements, et la rythmique parfaite de ses enjambés, nous laissaient penser, mon voisin et moi, qu’il passerait devant notre classe de Printemps, juste derrière l’arbre et notre maître, dans quelques minutes.
Et, comme à son habitude, ce dernier, toujours imperturbable, leva le ton. C’était le signe de la fin de sa vie, de la « vita » de cet évêque missionnaire de Scandinavie prénommé Ansgar.« Après la mort du préfet Herigar, le prêtre Ardgar, mu par le désir de la vie solitaire qu’il avait menée auparavant, quitta ces contrées lointaines et rejoignit son ermitage, en sorte que les chrétiens qui s’y trouvaient furent de nouveau privés de la présence d’un prêtre. Cela montre d’une manière éclatante que l’ermité avait été envoyé à pour consolider dans leur foi le susdit Herigar et la dite femme [Frideburg], pour recommancer leur mort à la miséricorde divine, et pour satisfaire l’ardent désir qu’ils avaient de recevoir pour dernier viatique le mystère de la sainte communion… »
Au moment même où notre vieux professeur finit sa vie, le petit homme trapu passa devant nous, tirant, en silence, la petite charrue remplie de d’instruments agricoles.
A la hauteur de l’arbre et du maître, il leva les yeux, puis sa main. L’ancien, comme s’il savait qui était derrière lui, leva la sienne. Puis, à l’instant même où le paysan repris sa marche, ce médiéviste que plus rien n’étonne nous dit avec un large sourire :Soyez sûr d’une chose mes jeunes disciples, le savant parle beaucoup. Mais cela ne veut pas dire qu’il sait. Raison de plus pour ne pas dénigrer le manuel.
Ne retenez donc qu’une chose aujourd’hui : lorsque l’on tire, que l’on est affairé, on ne raconte pas sa vie… »28 septembre 2008 à 19:48 #58153LuzonapisanchoroParticipantApparemment, j’aurais toujours internet cette semaine.
Un_revenant: Tu n’étais pas venu depuis un moment, mais tu reviens avec un texte excellent. Vraiment très bon!
28 septembre 2008 à 19:54 #58157Un_revenantMembreMerci Luzo
28 septembre 2008 à 20:47 #58165KohaneMembreSuper ton texte un_revenant!
C’est vraiment de la qualitée!n_n
Bon a moi!Quand on tire,on raconte pas sa vie:
Il etait une vous une pauvre paysane nommer Lysandre.
Elle vivait seule dans une petite cabane au fin fond du royaume D’Urule.
Bien qu’au premier abord elle semblait banale dés l’instant ou vous preniez la paine de bien l’observée vous ne pouviez n’etre qu’hebahi!
Car notre Lysandre avait des fleurs et des vignes qui poussait la ou auraut du se trouver normalement sa chevelure!
Cela malheureusement l’avait plus d’une fois empecher de vivre tranquillement.meme c’est parents avait du l’abandonnée a cause du harcelement continuel des chefs de fetes forraines.
Mais bon,Lysandre vivait quand meme heureuse dans son petit coin de campagne en compagnie de ca chevre Lolu.
Mais un beau jour,elle fut decouverte par le plus terrible des maitres loyal:Trasden Grugon!Directeur et star du cirque internationnal des mimes!!
Comment vous resumer qui etait cette canaille:
Petit,un tein couleur de tomate pas fraiche,Un nez comparable a un cap et un esprit semblable a celui d’un otaku en manque depuis 3 ans!
Donc notre pauvre Lysandre et Lolu le vire arriver un jour a leur porte.
Au debut il essaya de la charmée(je parle de la fille,pas de la chevre).
Seulement elle ne se laissait pas avoir par c’est parole de fausse promesse!(Il faut dire que le bonhomme n,arretait pas de baver en la regadant…-_-)
Finalement un soir ne pouvant en suporter plus,elle senfuit par la porte de derriere.
Malheureusement,Grugon c,etait placer ainsi que certain de ces mimes dans les arbres environant.(D’apres vous a quoi ils servent en realité les mimes?Hein?)
Ils se mirent alors a tirer sur nos pauvres fugitives!
Dans la tete de Grugon il n’y avait que cette phrase:Si je ne peut pas t’avoir vivante,au moin tu finira sur le mur de mon salon!
Au debut elles tentairent de se sauver mais les mimes les encerclaient…
Finalement a bout de force,Lysandre trebucha se livrant ansi au tir cruels de ses enemis.
Le diabolique maitre loyal allait lui donner le coup de grace quand
ne pensant qu’a sauver sa maitresse Lolu se jeta devant la fleche meutriere.
Tout d’un coup se fut le silence puis le cri de Lysandre retentit:
-NOOOOOOOOONNNNNNNNN!!!!!!(Ben quoi?Il faut rester dans les traditions!)
C’est cheveux-vigne se mirent a pousser et a devenir si long qu’ils s’aggrippérent aux arbres ou etait cacher les membres du cique.
Prit de panique les mimes voulurent s’enfuirent mais ils furent haché menu par les lianes de Berseck-Lysandre.Finalement il ne resta plus que
Trasden Grugon,qui lui etait rester cacher dans son arbre.
Trop fier d’avoir tuée la petite Lolu,il se sentait invincible.
Alors qu’il allait decocher sa fléche il dit:
-HAHAHAHAHAHAHAH!!!MONSTRE REGARDE TOI!DE MA VIE J’EN AIT VU DES CHOSES COMME:LA MANTICORE DE PORT-AU-PRINCE,LE TSUKIRIOUS-REX,LE BATEAU FANTOMNE DE YURRYK,LE FROMAGE CARNIVORE DU DESERT DE SAN-FUZZ,LE FLEUVE WYX AINSI QUE…ARGH!!??
Il ne fini jamais sa phrase…
Profitant du bruit qu’il fesait Lysandre le trouva et l’etranga avant d’aller balancer le corps du meurtrier de sa chevre du haut d’une falaise qui se trouvait la juste a point…
Elle prit ensuite le corp de Lolu dans c’est bras et dit:
Quand on tire,on raconte pas sa vie.SURTOUT quand on est un mime.
Et ce fut tout…
Elle disparu ensuite dans les montagnes de Thord et on dit que lors des soirée sans-lune on peut l’entendre pleurée la mort de sa seule amie…Voila!:)
J’aime bien mon texte et j’espere que vous l’avez apprecier aussi!n_n
De plus je croit que c,est mon plus long post a date.29 septembre 2008 à 04:08 #58172LuzonapisanchoroParticipantJ’aime bien
Tsukirious-Rex - AuteurMessages
Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.