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-26°C?!? aarrrgh mais quelle horreur :O! En tant que frileuse renommée, je suis habituée à avoir froid, mais là j’ose même pas imaginer, ici il doit faire -5 aujourd’hui et j’ai pas envie de sortir! -_-‘
En tout cas je comprends que tu te fasse rôtir des cariboux, par ce temps on a besoin d’énergie
Yahou! J’ai fini mon texte!
Le Sommeil n’est que Folie, de Jour comme de Nuit…
Londres, de nos jours. Centre de recherches scientifiques Iantow.
Le Professeur Smith travaillait au laboratoire comme à son habitude, aidé de son assistante, Rose.
[rivé devant son ordinateur, le professeur se frotte les yeux du pouce et de l’index par dessous ses lunettes puis s’étire en repoussant sa chaise du bureau]
-Bon, je crois qu’on en a fini pour ce soir, Rose! Je suis épuisé, nous reprendrons demain.
-Mais Professeur, Monsieur Iantow nous a demandé de faire quelques premières expériences sur cette nouvelle substance que l’autre équipe a réussi à synthétiser il y a quelques temps!…
[soupir]
-Quel est le protocole?
-Nous devons soumettre un échantillon à quelques expériences…tenez [elle lui tend les fiches d’expérimentation]
-Ah la barbe! [lit un instant]
-La substance en question a été créée dans le but de trouver un remède à l’insomnie, mais comme aucune expérience n’a encore été tentée sur un être vivant, nous ne connaissons encore pas les possibles effets secondaires. En plus, l’autre équipe de recherche lui a apparament trouvé lors de sa synthétisation un comportement chimique étrange, c’est pourquoi ils avaient recommandé au patron de l’étudier assez prudemment.
[soupir à nouveau]
-Eh bien voyons ça un instant!…Rose se dirige vers les compartiments réfrigérés et en sors une petite boîte, la pose sur la paillasse (le plan de travail, pas le lit, hein^^) et en sort délicatement à la pince un petit cube d’une substance sombre.
-Voilà!
-Bien, montrez moi ça…Le Pr Smith rajuste ses lunettes, puis met des gants et prend le cube dans ses mains, l’observe, le retourne, le renifle…rien de spécial.
Le professeur était fatigué et il n’aimait pas se faire exploiter, mais il considéra que ce machin là était digne de sacrifier quelques heures de repos…ah! la curiosité!…
Dans la soirée, lui et son assistante mirent en place différentes expériences, relevèrent quelques premiers résultats peu fructueux et rentrèrent chez eux, chacun de son côté, comme à leur habitude.Trois jours plus tard, Rose avait à peine franchi la porte du labo lorsqu’elle trouva le corps étendu à terre du Pr Smith. Elle n’était pas du genre à paniquer, alors elle s’approcha pour vérifier s’il respirait et le mettre en position latérale de sécurité. Au pied de la paillasse, elle remarqua par terre des débris de verre au milieu d’un reste de liquide violacé.
Le Pr semblait dormir profondément.
-!!!!…un brûleur électrique…et une fiole brisée à terre….il a dû arriver tôt, vouloir chauffer la substance en solution, et …et quoi?…..Tout en continuant à se poser des questions, Rose appela les secours. A l’hôpital, rien d’anormal ne fût diagnostiqué : le professeur continuait de dormir,sauf qu’on ne pouvait pas le réveiller. On décida de le mettre sous monitoring et de surveiller ses ondes cérébrales : rien. Sommeil. On lui fit alors passer une IRM.
-Ah!….ah ben ça, c’est bizarre!
Le manipulateur était jeune et sans tact. Mais il avait remarqué des zones dans le cerveau du professeur qui n’auraient pas dû être aussi actives.
-il faut que je montre ça au docteur!Les médecins commencèrent alors à s’intéresser à son cas. Mais il se réveilla quelques heures plus tard et fût transféré en chambre de repos. Comme Rose était venue lui rendre visite, il lui avoua avoir respiré les vapeurs se dégageant de la solution qu’il était en train de faire chauffer au moment de l’accident. Mais il allait tout à fait bien, ses résultats d’analyses étaient on ne peut plus normaux et les médecins ne s’opposèrent pas à sa sortie.
Cela faisait une semaine qu’il dormait, et il fût content de marcher un peu. Sa vie reprit son cours normal, métro-boulot-dodo. Rose semblait pourtant inquiète, elle le trouvait différent depuis cet accident. Il semblait parfois deviner le fond de sa pensée, et elle le vit même une fois rattraper au vol un tube à essai qui tombait…le genre de réflexes qu’il n’avait pas il y a peu!
Mais à part ça, rien ne semblait avoir changé. Le projet de commercialisation du produit avait déjà vu le jour et la recherche du dosage et de la présentation du médicament contre l’insomnie avançaient. Jusqu’au jour où Smith ne vint pas au laboratoire. Rose l’appela mais il ne répondit pas.
Quand elle alla le voir le lendemain, elle fut effrayée de voir à quel point ses cernes étaient creusées et la fatigue qu’il affichait.
-Bonjour Professeur, comment vous sentez-vous?
-Pas très fort, Rose, pas très fort…j’ai…des migraines atroces depuis hier.
-Avez-vous fait quelque chose d’inhabituel?
-[sourit]Oui!…je suis allé faire les soldes! [rit carrément]…aoutch…
-Je pense qu’il serait plus prudent de vous emmener à l’hôpital, histoire de vérifier qu’il n’y ait rien d’anormal. Je vous emmène!Pour plus de prudence, les médecins lui refirent passer une IRM. Rose resta avec eux.
-Les zones du cerveau qui ne devraient pas être actives le sont toujours…c’est étrange!…Et alors qu’il est réveillé, ces zones-là, ici, et ici, ne devraient pas apparaître comme ça. C’est comme s’il était toujours en phase de sommeil paradoxal!!
-Mais enfin c’est impossible!
-Je sais! Mais c’est pourtant ce que révèle l’image!
Les médecins se mirent à polémiquer sur ce cas nouveau, mais le professeur Smith se plaignait encore de violentes migraines.
-Arrêtez de parler si fort s’il vous plait!
Le manipulateur et les médecins se regardèrent. Smith était encore dans la salle d’IRM et les micros n’étaient pas branchés. Cela les mis sur une piste, et bien que ça leur paraisse incroyable, ils mirent en évidence que Smith arrivait à entendre ce qu’ils disaient malgré l’isolation, entre autres phonique, de la salle!
Alors que Rose commençait à paniquer au sujet de leur travail, elle se dit que tout ça était dû à la nouvelle vedette de Mr Iantow, le sérum du sommeil. Si les effets secondaires étaient si violents, même avec un dosage plus faible, quels pouvaient être les risques pour les futurs bénéficiaires du médicaments, sans parler des volontaires pour les tests? De l’autre côté de la vitre, le professeur Smith essayait de dire quelque chose.
-Rose, vous avez…vous avez raison…il faut empêcher la commercialisation du produit! [Rose : il lit vraiment dans les pensées!]
-Mais?!…De quoi parle-t-il?
-Nous travaillions sur une nouvelle substance sensée devenir le premier médicament soignant l’insomnie. Le professeur a été victime d’un accident, il a respiré une forte dose de vapeurs de ce produit, et c’est ça qui l’a ammené là la première fois. Nous ne connaissons malheureusement pas encore toute la portée du sérum, de toute évidence.Les médecins ne savaient pas quoi faire, malgré leurs efforts le cerveau de Smith continuait à rester en phase de sommeil paradoxal malgré son état éveillé. Ses migraines passèrent, mais reprenaient dès qu’il était entouré de trop de monde. Il commençait à faire peur à ceux qu’il croisait, anticipant tout ce qui allait être dit ou fait et il s’en amusait finalement. Il décriptait le fond de la pensée de son interlocuteur avant même que celui-ci en ait conscience, comme s’il arrivait à sonder les âmes.
Il arrêta de travailler, ou plutôt, on l’obligea à prendre une retraite anticipée. Il confia à Rose la mission de faire stopper le projet, heureusement que tout n’était pas prêt et que son expérience malheureuse avait convaincu leur patron de tout arrêter. Mais pour lui il était trop tard. Un pouvoir de ce genre effrayait les gens, le vide se fit autour de lui et il se retrouva seul. Seul avec ses propres pensées. Endormi ou éveillé, il ne savais pas. Pour lui, les rêves et la réalité se confondaient pour ne former plus qu’un amas d’informations se recoupant dans tous les sens, allant et venant, ne s’arrêtant jamais.
Une phrase l’obsédait sans cesse « le sommeil n’est que folie, de jour comme de nuit, le sommeil n’est que folie, de jour comme de nuit ».
Quelques années plus tard, on le retrouva mort, pendu à la poutre du plafond de son appartement ancien. A ses pieds, le mot qu’il avait écrit en guise d’adieux au monde :
« Enfin dormir…en paix! »Eh ben, je pensais pas que ce serait si long! J’espère que vous n’avez pas trop souffert de cette lecture!
Décidemment, bien qu’avec cette citation, il semble difficile de faire un texte potable, je dois avouer que je suis bluffé.
Quelle imagination pour Tsuki’ et (Y)Aoi et moi aussi.J’éspère que les prochaines citations nous obligera encore a nous surpasser!
PS: Au fait, comme la fois précédente, je garde les liens vers les textes pour les votes. Si, avant les votes, vous voulez relire un texte mais que vous ne savez pas où il se trouve, demandez-le moi.
EN belgique on vient d’exploser un record de température à -21.9 dans les Cantons de l’Est ^^…
Oui j’ai failli mourir à -17, mais si j’vais au Canada tu seras là pour me proteger du froid ma ‘tite fifille ^^
Trop impatient de voir ton dessin, c’est vraiment chouette que tu fasses çaBen tu as lu tous les textes pour la citation^^
Les autres viendront sûrement après.Mais n’hésite pas à parcourir les pages de la LDRAN pour lire les autres textes des citations précédentes. Et je me répète, mais tu peux faire un texte (ou 2) si tu veux
PS: Après avoir trouvé le moyen de combattre les morts (j’ai aucuns mérites, j’ai été aidé par…..), j’ai enfin pû me débarrasser définitivement de Pooky, le lapin tueur puis revenant tueur.
Mon avatar est sauvé!Je sens que les votes vont êre difficile. Je n’ai lu que trois texte et je les ai aimé tous les 3…[/quote:2ye017xk]
t’inkiète ya toujours une exception à la règle et elle arrive à grand pasbon comme pour tout mes textes c’est de l’impro total
meme si j’ai une vague idée à exploiter
alors on va se lancer(ptit hs : ouah comme c’est joli maintenant quand on va dans massage y G I S spoil et des carrés de couleurs, ce forum s’améliore de jours en jours
le sommeil n’est que folie de jour comme de nuit
Il est onze heures et je dois me coucher.
Mais comme d’habitude je ne veux pas m’endormir, cette souffrance est trop attroce.Malheuresement, si forte est la volonté humaine, il ya des choses avec lesquelles on ne peut pas luuter. Le sommeil en fait parti;
Mes yeux se ferment définitivemen vers 5h du matin, il ne me reste plus que 2h30 de sommeil mais…
au moment ouu mon sommeil est le plus profond:
BWOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!
je me réveille en hurlant de toutes mes tripes, suant à volonté et tellement blance qu’on pourrai croire que je suis un spot réfléchissant la nuit.
il est 5h10 et mon sommeil est terminé.
Comment vais-je un jour trouvé le sommeil paisible?
Mon ami de réfectoire me dit que seul la mort ne propose qu’un doux et agréable sommeil, en général je rétorque qu’on ne peut pas affirmer ce genre de choses car seul les morts connaissent la vie post-mortème.
Des fois il me plait à penser que mon ami de réfectoire a raison.Ce matin je dois passer devant l’illustre M.Freudich qui comme à chaque fois va me parler de ce dont je rève la nuit pour tenter de les analyser avec moi de façon à ce que je retrouve une paix avec mon égo et que ma vie soit le plus agréable possible;Mais comme à chaque fois je n’ai pas rêver et il est difficle à ce compte là de les décrire alors je lui invente des histoires à dormir debout (:)) et alors si content de pouvoir utiliser ses connaissances apprises dans sa prestigieuses université et de surccroit faire voir comme il est super intelligent que nous analysons tout ces beaux cauchemars et à chaque fois il me fait un beau sourire et me dit: « petit à petit nous progressons et il ne fait aucun doute qu’un jour nous arriverons à trouver les réponses aux quetstions que votre inconscients vous poses et dont nous n’avons pas encore tout élucider »
Quelle belle phrase pour ne pas me traiter de fou.Aujourd’hui ;je le sens; est un jour particulier je ne serais vous dire pourquoi?
Il est midi mon ami de réfectoire n’est pas là.
Alors je demande à cette charmant dam qui s’occpe en générale de mon ami.
Elle me répond que Harry a décider de prendre sa vie en main et qu’il a obtenu le droit de se reposer.
Encore une belle phrase pour ne pas qir qu’il s’est suicidé;
Dan s ce genre d’établissment, cetains mots sont bannis du dictionnaire.
Je mange seul toujours entrain de ruminer à mon triste sort et je tente en vain de répondre à ma seule et unique préoccuppation : Comment trouverle sommeil?
Je suis sur que le jour où j’aurai trouvé la réponse je pourrai enfin sortir de cet hotel particulier.il est 14h et c’est l’heure de la sieste traditionnelle et voilà que je sens a nouveau un neoud qui se forme au fon de mes entrailles, dormir ne devrait pas etre un moment de paix un moment ou tous nos soucis s’effacent et laissent place à de beaux et doux rêves dont je serai le seul héros protégeant la belle dame qui s’occupe de moi
je tente de m’endormir et encoreune fois il me faut bien 2h pour trouver le sommeil or 16h est juste l’heure ou on vient nous réveiller. aujourd’hui c’est ma belle dame qui arrive mais voilà à ce moment précis
BWOOOOOOOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!
Je me réveille comme à mon accoutumé et je ne peux controler moncorps et je saisi ma belle dulciné par la gorge.
Elle hurle à l’aide
Appuie sur son bipeur
4 molosses arrivent pour l’épauler
Je continue d’hurler mais les 4 molosses me tiennent et tentent de me ligoter à mon lit
Pendant ce temps ma bien-aimée me trahis en prenant une seringue et la remplissant certainement de calmant.
Je décide alors de ne jamais oublier cette infame trahison et je l’aurai un jour.
Mais lh’eure n’est plus a la vengeance, le calmant que ma donné l’outrancière agit bien que je ne l’aurai imaginée er je ne peux plus bouger.
M.Freudich arrive et écoute ce que les 5 personnes on vu et du faire à mon égard.
Il me regard avec compassion au début mais me dit tout de suite derrière:
« je suis terriblement déçu par votre comportement; je pensais que nous avions presque terminé votre thérapie et j’étais presque à vous prescrire un internement allégé mais force est de constater que’il va falloir revoir votre traitement depuis le début.Ai-je fais une erreur en vous accordant ma confiance? »
Et il partit, les molosses me regardaient et me dire que j’allais changer d’infirmière.
Infirmière? Pourquoi me parle t’il de ça après tout je ne suis pas dans un hopital ici!!!Le soir venu, je réfléchis et je viens de penser que les calmants que l’on m’a donné avait bien agis alors je me dis que peut-etre des somnifères pour peut etre me servir.
J’appelle mon nouvel intendant, il s’agit d’un homme pas très beau. Je lui fait part de ma requète , il me regarde avec un sourire et s’en va
S***p me dis-je à voix basses.
Si je ne peux dormir alors je considérerait que c’est de safaute.
Ebcore une nuit sans dormir alors désespéré j’appel à nouveau lui prétextant que j’ai besoin de dormir, il me répond que ça peut attendre alors tout énervé je lui dit que meme les poules sont mieux traités que moi et que j’en réfèreai demain à M.Freudich.
Son visage change ; il a l’air très énèrvé et ouvre la porte de ma chambre.
J’ai l’impression qu’il veut me corriger mais soit j’avais déjà prévu cette hypothèse venant de la part d’un tel avruti se croyant tellement supérieur aux etres tels que moi.
Au moment où il tente de me frapper je l’attrape par la gorge, mets mon autre maine sur sabouche pour éviter qu’il ne crie.Il tente d’appuyer sur son bipeur alors je lui ascène un grand coup de tête sur son nez.
Il perd connaissance aussitot. Alors le chemin est libre devant moi mais avant toutes choses je vais fgaire en sorte qu’il ne m’embête plus.
Je prend la seringue qu’il a dans la poche et m’amuse a lui planter un peu partout sur son visage.Je crois que j’y suis allé un peu fort quand même ; je ne suis pas sur qu’il puisse voir ou entendre un jour.
En tout cas toues les rougeurs qu’il porte sur son visage son assez amusante je dois dire.
Je dois me dépêcher il est bientot l’heure du lever.
J’arrive à la salle de repos des internes il sont 4 ; parmis eux ily un des 4 molosses de la veille ainsi que ma divine-traitresse.
Je prends un extincteur et je fonce dans le tas. Je commence par frapper celui qui m’a tenu les jambes; Il s’écroule de tout son poids alors je saute sur ma bien-aimée et tout en la frappant au visage je crie sans cesse pouqoui as-tu fais ça.
Les 2 autres m’attrapent; l’un me désarme tandis que l’autre m’immobilise avec technique qu’ils doivent apprendre dans leur formation. Je ne peux plus bouger une fois encore mais je peux voir le visage de ma défunte-aimée; il est rouge vif , du sang coule de partout; un oeil estv sortit de son orbite mais moi je crois que c’est la meilleur chose qui pouvait lui arriver; grâce à moi elle peut dormir.Le jour s’est enfin levé;
Je suis habillé d’une nouvelle forme de camisole;
Le docteur Freudich est devant moi terriblement énervé à mon égard. Il me dit : »voilà vous l’avez chercher je dois vous mettre en isolationtotale pour une durée indéterminée, le temps que la justice se mette à conclure que vous n’etes asp conscient des vos actes »
Sur ce il se met à hurler: » qu’attendiez vous en faisant celà; que vous vouliez-vous, que désirez vous pour agir de cette façon »alors je lui répond le plus calmement possible et sans meme vacillé:
« Dormir, je veux juste dormir »FIN
bon ça a l’air long désolé
et de 4…pffff…. Je vais réfléchir pour un texte mais pour l’instant l’inspiration en vient pas….
Je vais aussi aller me balader sur vos autres post pour voir vos oeuvres…Pour la citation, j’ai aussi le syndrome de la page blanche mais bon, ne désespérons pas, et puis y’a le tps… par contre wYx, il a une super idée (que je peux pas lui piquer
)
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